A ma marraine d’amour,
A mon ange-gardien,
A toutes les personnes que j’aime
Tu, lux mea eras
Dans une petite chambre parisienne
Trois temps
Chante mon rossignol
Tu partiras
Le chant d’une ondine
Le soleil brillait dans les bras de l’été
Adieu
Quarante ans
Deux adolescents
Le point de non-retour
Ad te Domine, levavi animam meam
Les souvenirs
Les beaux rêves
Ad te Domine, levavi animam meam
Décidément
Je te cherche dans les livres
Ange-gardien
Merci de m’avoir trouvée
Tu quoque, mi amor ?
Nos étoiles étaient si belles, là-haut
Du bruit
Les aveux
C’est plus facile
J’ai vu l’amour s’en aller
Dix-huit ans
Les infinitifs
Tu n’es plus…
Dum spiro, spero
Aimer, c’est risquer durant toute la vie
Jalouse
Je serai ton rêve
Les mots les plus importants
Les Mathématiques
Le Nouvel An
Je vais y réfléchir demain
Dominus est Amor
Parfum
Dessine-moi une vie
J’embrasse un homme
Belle
A ma marraine d’amour
S’embrasser, s’embraser
Recette
Questions
Sois ma Valentine
Quel temps fait-il ?
Fragilis et pretiosa
Le petit oiseau venu de loin
L’imaginer
Mona Lisa
C’est tout nouveau
Fragile et précieux
Ma toute belle
Per aspera ad astra
A ma maman
Il faut que je te dise
Avec et sans
La main dans la main
Toutes ces petites choses
N’essaie même pas
Dialogue
Tu, lux mea eras
Dans une petite chambre parisienne
Dans une petite chambre parisienne
On vivait et on vit, tant bien que mal.
Moi, je veux que toute ma vie revienne,
Que mon passé devienne le présent vital.
Les odeurs d’amour m’ont rendue folle
Je m'en souviens, j’en ai besoin,
Oui, c’est triste et en même temps c’est drôle,
Je pense à toi, assise dans un coin.
Dis-moi, si je peux tourner la page,
Faire tout à nouveau, éviter les erreurs ?
En automne les jours, comme le feuillage,
Sont sous mes pieds, tout n’est qu’heurs et malheurs.
Dans une petite chambre parisienne,
En t'attendant j’ai ouvert mes fenêtres,
Tu m’appelais ta Marie-Madeleine,
ça, t’en souviens-tu ? Oui…Non…Peut-être…
29/10/2012
Trois temps
Je partagerai mon pain avec toi,
Mon vin avec toi,
Ma peine avec toi,
Le sang qui coule dans mes veines.
Je te rendrai tout ce que je te dois,
Tout ce qui était à moi
Deviendra à toi
Et c'est déjà le cas,
Ce ne sont pas des paroles vaines,
Et elles ont déjà donné des graines,
Et je les ai semées
Contre vents et marées,
Loin des villes, sur le pré
Par amour, je l'ai fait, pas par haine.